Avec la (quasi) fin de la crise du coronavirus et la baisse progressive des restrictions sanitaires, on peut enfin de nouveau voyager pour faire la fête ! Nul doute que les jeunes européens, malgré des actualités continentales parfois déprimantes, sauront retrouver le chemin des festivals de musique. Il y en a de nombreux en Europe et bien entendu en France, qui n’est pas à la traine par sa longue tradition festivalière. Un festival de musique, ce sont de diverses raisons qui poussent à y aller sans hésiter ! C’est avant tout une destination pour s’amuser et se détendre, souvent entre amis. Rien de tel que prendre la route à plusieurs, avec comme bagages une tente et de quoi dormir sur place. C’est un peu spartiate, mais c’est aussi tout le charme des festivals de musique à travers le monde. Si jamais on ne connaît personne, qu’importe, on peut se faire des amis sur place. Ensuite, on peut y aller pour se défouler en écoutant du bon sens en plein air, pour boire et s’enivrer dans une ambiance de folie, etc.
Découvrons quelques festivals de légende ensemble, avec en prime quelques mots sur la sécurité des lieux, car les dispositifs sont impressionnants et contribuent au succès de ces événements. Effectivement, avec la concentration aussi énorme de festivaliers, cela requiert un dispositif bien rôdé et sans failles.
Le Hellfest
C’est un peu chauvin, mais commençons par la France et son fameux festival situé dans le département de Loire-Atlantique, dans la commune de Clisson. En général, le festival se déroule au mois de juin, quand il fait beau. Le Hellfest est un incontournable des rencontres musicales punk-rock, métal ou encore hardcore. Clisson devient ainsi la capitale mondiale de ce style de musique, c’est pour ça que plus de six mois avant son ouverture, il n’est déjà plus possible de réserver sa place. C’est remarquable étant donné la progression fulgurante du Hellfest qui attire les jeunes et moins jeunes de tous les pays européens.
Côté sécurité, rien est laissé au hasard : ce festival est aussi connu pour sa règlementation à toute épreuve et la qualité de son système d’organisation (avec plus de 3500 bénévoles, tout de même). Il faut savoir que la préfecture, les services de secours, les forces de l’ordre, en plus d’un service de sécurité et la bienveillance des élus locaux, permettent que tout se déroule au mieux. La signalisation et le balisage, autant que le placement des équipements de sécurité sur la voirie, sont bien respectés et correspondent aux normes en vigueur. Si jamais cela nous tente de créer un festival, c’est sur le Hellfest que l’on peut s’inspirer. Côté matériel, on peut faire confiance à des vendeurs spécialisés comme https://www.sinoconcept.fr/ pour nous orienter sur les bons achats.
Primavera Sound
Partons maintenant au sud, vers l’Espagne. Terre de fêtes comme chacun sait, notamment du côté de la ville de Barcelone, immortalisée dans le cinéma français avec le film l’Auberge Espagnole. C’est justement là-bas que se déroule le festival de Primavera Sound, qui se déroule fin mai jusqu’à mi-juin. En pleine période de printemps, comme le rappelle en langue espagnole le nom de cet événement célèbre. Tous les ans, il est organisé dans ce que l’on appelle la Cour des Grands et présente des artistes nouveaux ou bien des pointures, comme Artic Monkeys ou encore The National. Côté logement, c’est un peu moins sauvage que pour le Hellfest, car on peut trouver des hôtels dans le centre-ville. Il suffit de se rendre sur un comparateur spécialiste des hôtels pour trouver ce qui nous conviendrait le mieux niveau budget et confort. Mais il faut s’y prendre à l’avance, pour ne pas se retrouver à devoir dormir à la belle étoile ! On peut aussi dormir chez l’habitant, il y a assez d’offres à Barcelone, qui est habituée à la vie nocturne et étudiante. Pour s’y rendre il n’y a aucune surprise, c’est par train, avion, autocar ou voiture. Il y a l’embarras du choix.
Quant à parler de la sécurité, les moyens déployés sont assez similaires à tous les autres festivals les plus connus en Europe, surtout ceux qui sont là depuis des années. Au lieu d’être redondant dans les propos, nous pouvons parler des mesures qui ont été prises pour le coronavirus : désinfection quotidienne, gel hydroalcoolique à chaque entrée, mesures de distanciation sociale, chemins précis pour les entrées et sorties, puis dispositifs pour contrer le phénomène de foule. En somme, assez classique et structuré.
Roskilde Festival
Voyageons encore, cette fois-ci au pays des vikings : le Danemark. Comme son nom l’indique sobrement, le prochain festival que nous présentons se déroule à Roskilde. Il s’agit d’une ville située à l’ouest de la capitale Copenhague, sur l’île de Sjaelland. Ici encore, l’événement musical se déroule à la belle période, entre la fin du mois de juin et début juillet. Le Roskilde Festival est renommé pour sa thématique autour de la musique rock et sait attirer des milliers de festivaliers. Sa spécificité, c’est de reverser une partie des revenus générés par la rencontre à des associations caritatives, c’est donc un excellent moyen de conjuguer la fête avec une attitude empathique et responsable. Quant à ce qui est du logement aux alentours, on peut, comme le Hellfest faire du camping sauvage, mais rappelons que nous sommes à des latitudes plutôt nordiques. Malgré l’été, il se peut qu’il y ait des nuits froides. Des hôtels sont ainsi disponibles pour les festivaliers, surtout si l’on accepte de parcourir une trentaine de kilomètres pour se rendre à Copenhague. Comme toujours, si c’est l’option confort qui est choisie, il vaut mieux anticiper et réserver bien à l’avance. Pour se rendre sur l’île de Sjaelland, le mieux est de prendre l’avion jusqu’à la capitale, puis de rejoindre le festival en train local.
Pour finir cet article, parlons une nouvelle fois de sécurité sur les lieux. Le site internet du Roskilde Festival précise les mesures qu’ils ont prises. Ils précisent aux nombreux festivaliers qui posent des questions à ce sujet que l’environnement urbain fait qu’on rencontre des policiers en uniforme, des fouilles au corps régulières, etc. Ils prennent très au sérieux les menaces qui peuvent peser sur le festival, on imagine qu’ils ont pris les matériels nécessaires pour notamment assurer les dispositifs d’évacuation des festivaliers, sans provoquer de problèmes de foule.
